VARIANTES’
DE LA TRAGÉDIE D’ADÉLAIDE DU GUESCLI.W
l’âge 88, vers 10. — Dans l’édition de ITCG, la scène commenrait |)ar ces vers :
Enfin c’est trop attendre, enfin je dois connaître, Dans les derniers moments qui me restent peut-être, Si, volant au combat, j’y dois porter un cœur Accablé d’infortune, ou fier de son bonheur.
Page 92, vers 16. — Édition de 1766 :
Dans le feu du combat je vous ai peu servi.
Page 95, vers -10. — Édition de 1766 :
Ne corromps point ainsi la joie et les douceurs.
IbUL, vers 20. — Édition de 1766 :
Oui, j’aime Adélaïde, et, pour son alliance,
11 semblait que ma flamme attendît ta présence.
NKMOURS, à part. Qu’entends-jc !… il est donc vrai…
VENDÔME, à un offickT.
Qu’on la fasse avertir ; Mon frère est avec moi, qu’elle daigne venir.
(A Nemours.) Ne blâme point, etc.
Page 99, vers 31 :
VENDÔME.
Vous qui me tenez lieu de rois et de patrie, Vous dont les jours…
ADÉLAÏDE.
Je sais que je vous dois la vie.
Page 102, vers 17. — Édition de 1766 :
Avant que de ses jours heureux li])crateur.
1. Les variantes considérables, d’après le manuscrit de 1734, sont imprimées à part, à la suite de celles-ci.