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558 RÉPONSE A M. L'ABBÉ DE GAVEYRAC.

vendu un seul manuscrit. Si M. de Caveyrac était mieux informé de la vie que je mène, il ne me ferait pas de telles imputations. Enfin, pourquoi mêler mes neveux, conseillers au parlement, dans cette question ?

Ces réflexions sont bien étrangères au mariage de M"*^ Camp et au jugement de son procès ; mais nous avons cru ne devoir pas rejeter cette occasion de nous défendre contre les accusations de M. l'abbé de Caveyrac, à qui nous demandons non-seulement de l'indulgence pour les protestants, mais encore pour nous, qui avons été obligés de réfuter ses opinions.

��FIN DES REFLEXIONS PHILOSOPHIQUES, ETC.

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