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572 LETTRE D'UN AVOCAT DE BESANÇON.
de prononcer le nom du libraire Jore, à qui M. de Voltaire daigne faire une pension !
Si tu avais été repentant et sage, peut-être aurais-tu pu obtenir aussi une pension de lui ; mais ce n'est pas là ce que tu mérites.
��FIN DE LA LETTRE d'uN AVOCAT,
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