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\ll 1 je n’en (Iddlc plus…
I A Alcméon. )
Ma crainte, ma tpiidrfsso…
A I. C M K \.
OiK’llc est 011 me parlant la doiilour (\\\\ \()iis [)re.sso ? Ki ; ii’iivi.i : .
Ak’int’on, votre san^-.
Ah : [)rince !
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D’où \i(’iit que \oti.s [)lcurez ?
KK ll’H VI.K.
ALCMEON.
De quel nom, reine, vous m’iionorez !
ÉrtlPHVLK.
- Eh hien 1 ne taivlc plus, rcnqilis ta (lc>tiii(e ; ii
- Porte ce fer sanglant sur cette inl’ortunce : 1/
- Étouffe dans mon sang cet amour malheureux // v/’ ^^,.^.0^
- Que dictait la nature en nous tronquant tous deux ;
- Punis-moi, venge-toi, venge la mort d’un père : ^^■
- Reconnais-moi. mon fils : frappe et punis ta mère !
ALCMÉON.
Moi, votre fils ? grands dieux !
ÉP.IPHVLE.
C’est toi dont, au berceau, Alon indigne faiblesse a creusé le tombeau : Toi le fils vertueux d’une mère homicide ; Toi, dont Amphiaraus demande un parricide : Toi mon sang, toi mon fils, (jue le ciel eji courroux, Sans ce prodige horrible, aurait fait mon époux !
ALCMÉON.
De quel coup ma raison vient d’être confondue ! Dieux ! sur elle et sur moi puis-je arrêter la ^ ue ’ ? Je ne sais où je suis : dieux, qui m’avez sauvé, Reprenez tout ce sang par vos mains conservé. Est-il bien vrai, madame, on a tué mon père ? 11 veut votre supplice, et vous êtes ma mère ?
ÉP.IPHVLE.
- Oui, je fus sans pitié : sois barbare à ton tour,
- Et montre-toi mon fds en m’arrachant le jour.
- Frappe… Mais quoi ! tes pleurs se mêlent à mes larmes ?