Page 294. ligne 3. — Dans le manuscrit intitulé Monsieur du Cap-Vert, dont il est parlé dans la préface, le comte des Apprêts est appelé Boursoufle ; et le chevalier du Hasard, le chevalier Biribi.
Page 402. ligne 30. — Dans Monsieur du Cap-Vert on lit de plus ici :
Vite, ma lunette ; observons.
Mesdames, je sais fort peu ce qui se passe dans le ciel ; mais il ne pouvait m’arriver d’aventure sur la terre plus agréable que celle-ci.
Page 404. ligne 6. — On lit de plus dans Monsieur du Cap-Vert :
Eh ! madame, vous savez que les mariages sont écrits dans le ciel.
Oui ; mais c’est quelquefois nous qui tenons la plume.
Page 405, ligne 29. — Dans Monsieur du Cap-Vert, il y a :
Ma chère Fanchon.
Page 406, ligne 18. — Dans Monsieur du Cap-Vert, ce couplet se lit
ainsi :
Le cruel me traite de la sorte avec tant de mépris, et use comme si nous avions été mariés cinquante ans.
Page 410. ligne 22. — Dans Monsieur du Cap-Vert, on lit de plus ici :
Le miroir, page, le miroir ; haut, plus haut.
Ces paroles sont à peu près dans la quatrième scène du premier acte de l’Échange. Voyez le volume suivant.