386 VARIANTES DE BRUTUS.
J’ai sur vous en effet ce pouvoir malheureux. Si lo cœur d’un Romain connaît l’obéissance, Si je puis commander, évitez ma présence ; Pour la dernière fois, cessez de m’accabler. Et respectez les pleurs que vos mains font couler.
SCENE III. TITUS, seul.
Qu’ai-je dit ? que ferai-je’ ? et C[uo viens-je d’entendre ? Jusqu’où ma passion m’a-t-elle pu surprendre ? Ah ! pourquoi faites-vous, destins trop rigoureux, Du jour de mon triomphe un jour si malheureux ?
SCÈNE IV.
TITUS, MESSALA.
TITUr..
Messala, c’est à toi qu’il faut que je confie Le trouble, le secret, le crime de ma vie, Les orages soudains de mon cœur agité.
MESSALA.
Quoi, seigneur ! du sénat l’injuste autorité…
TITUS,
L’amour, l’ambition, le sénat, tout m’accable. De ce conseil de rois l’orgueil insupportable, etc.
I* ; ir la nouvclh^ disposilion, les scènes iv iM v de 17 : 51 cl IT.’Jt) sont deve- nues 1(S scènes i et ii. (B.)
Page 3*0, vers 26. — Kditions de 17 : îl ii I7i(i : Jo devenais Romain, je sortais d’esclavage.
Ibid., vers 28. — Kdilions de I7 : îl ii 1748 :
Quoi ! le fils de Brutus, un soldat, un Romain,
Aime, idolâtre ici la fille deTarquin !
Coupable envers TuUie, envers Rome et moi-même,
Ce sénat que je hais, ce fier objet (jue j’aime,
Le dépit, etc.
Pago.311, vers 14. — Édilions de 17.31 ii 17 48 : Héhis ! ne vois-tu pas les fatales barrières ?
Pas^e 344, scène m. — Dans les éditions de 1731 el I73(). après la scène entre Titus el.Vrons, qui était la cinquième, venait le numologue suivtyit tonuanl la si\ienu> :