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(On met une cuuroiiin ; sur lu tùlo du euré.i LK CHOELR cliante sur un air de l’opora de 7"/(t f>.

Oiio l’on doit r\ro Coiilciil (TiiNoii 1111 |)r(’trc (Mii l’ait (le si beaux \orsl

Qu’on applaudisse Sans cesse à ses noiiveaiix airs,

\ ses concerts. (Jii’n r(\n-Iise il nous ])énisse, ()u’h taille il nous réjouisse ; Que (fun triomphe si doux Tous les curés soient jaloux !

Sur l’air des vieillards de Tlii-xve.

Mène-t-on dans le monde une \ie Qui soit plus jolie Qu’à Bélébat ! Ce curé nous enchante : Lorsqu’à tahle il chante, On croirait être au sabbat. Le démon poétique

Oui rend pâle, étique. Voltaire le rimeur, Rend la face Bien grasse A ce pasteur.

Air : Au pronéreux Roland.

A ce joyeux curé Béléliat doit sa gloire,

Tous les buveurs on lui ^oit terrasser :

Mais il ne veut, pour prix de sa victoire,

Que le bon x’m que Li\ry^ lait verser. On vient, pour l’admirer, des (juatre coins du monde :

On quitte une brillante cour ; Partout à sa santé chacun boit à la ronde ;

Alais qui peut voir sa face rubiconde, \oit sans étonuement l’excès de notre amour.

I. Le marquis de Livry. premier mnître-d’liùte ! du roi, qui était de la fête. K.)