VARIAMES
l’ai : »’ ji’il. v(MS : j. — Dans les éditions antérieures ii \.’)2. au lieu de (•(> vers et des cinq qui le suivent, on lisait :
Je suis dans une cour qu’une reine nouvelle
V’a rendre plus brillante, et plus vive, et plus belle.
Je ne suis pas trop vain ; mais, entre nous, je croi
Avoir tout à fait l’air d’un favori du roi.
Je suis jeune, assez beau, vif, galant, fait à poindre ;
Je sais plaire au beau sexe, et surtout je suis feindre.
La reine nouvelle dont il est question dans ces vers était Marie I.eczinska.
lOU/.. vers 17. — Les éditions antérieures à \~’.}2. au lieu de ce vers et du suivant, contenaient les six vers que voici :
Avec cet air aise que j’attrape si bien, Je vais être de plus raaitre d’un très-gros bien. Ahl que je vais tenir une table excellente ! Hortense a bien, je crois, cent mille francs de rente : J’en aurai tout autant, mais d’un bien clair et net. Que je vais désormais couper au lansquenet ! (B.)
Pai : {> •>’■')(). vers 3. — Dans les éditions antérieures à l7o2. au lieu fie ce vers et de ceux qui le suivent, il y a :
C L I T A M) p. E.
Il est vrai qu’on le dit.
DAMIS.
On a quelque raison ; Mais vous auriez de moi méchante opinion. Si je me contentuis d’une seule maîtresse ; J’aurais trop à rougir de pareille faiblesse. A Julie en public je parais attaché ; Mais, par ma fui, j’en suis très-faiblement touché.
TRASIMON.
Ou fort ou faiblement, il ne m’importe guère.
DAMlS.
La Julie est coquette, et paraît bien légère ; L’autre est très-différente, et c’est solidement Que je l’aime. (B.)
FIN DES VARIANTES DE L INDISCRET.