SCÈNE XX. 271
SCÈNE XIX.
II () I ? I r. N Sr,. seuil’, cm diniiino, et son masque à la iiiaiii.
]1 faut iixor onlin iiios vœux trop inconstants.
Sachons, sous cet lial)it, à ses yeux travestio,
Sous ce masque, et surtout sous le nom de.Iulie,
Si l’indiscrétion de ce jeune éventé
Fut un excès (Tainour ou bien de vanité :
Si je dois le lunr on lui diunier sa grâce.
Mais (l(jà je le \( »is.
SCÈNE XX.
nu R 1 ENSE, en domino et masquée ; H A M I S. DAMIS, sans vuir Horteusc.
C’est donc ici la place Où toutes les beautés donnent leurs rendez-vous ? Ma foi, je suis assez à la mode, entre nous. Oui, la mode fait tout, décide tout cii P’rance ; Elle règle les rangs, riionneur, la ])ionséance. Le mérite, l’esprit, les plaisirs.
HOKTEXSE, A part.
L’étourdi !
DAMIS.
Ail ! si pour mon bonheur on peut savoir ceci,
.le veux qu’avant deux ans la cour n’ait point de belle
A qui l’amour pour moi ne tourne la cervelle.
Il ne s’agit ici que de bien débuter.
Bientôt Églé, Doris… Mais qui les peut compter ?
Quels plaisirs ! quelle file 1
HORTEXSE, à part.
Ahl la tête légère 1
DAMIS.
Ahl Julie, est-ce vous ? vous qui m’êtes si chère ! .Je vous connais malgré ce masque trop jaloux. Et mon cœur amoureux m’avertit que c’est vous. Otez, Julie, ôtez ce masque impitoyable ;