S( ; f : M- : \v. mi
|.,i r ; i\(’il|- (il’l je Mlis, les postes (|l)(’ j’csprrc, \ï-trc jamais de rien, cesser partout de plaii-e. S’il es ! \i’ai (|iraii ; oiii-(riiiii je \<n\s ai reinoxi-
Ce porlrail à mes maitis par ramniii’ conrK.
IIOKTENSE.
.le lais plus,.le consens (le n’être point ainn-e
De l’amant dont mon âme est malgré moi charmée,
S’il a i-eru de moi ce billet prétendu.
Mais \oil ; i le portrait, iii,m"at, (jui m"est icndii :
Ce prix trop méprisé d’une amitii’ ti’op tendre.
Le \oilà : poii\(’/-\oilS…
DAMIS.
Ml : j’aperçois Clilandre.
SCENE XIV.
ItOKTKNSH. DAMIS. CLIÏAXDRK. MiRINK, PASQUIX.
DAMIS.
\iens çà, marquis, viens çà. Pourquoi l’uis-tu d’ici ? Madame, il peut d’un mot dé !)rouiller tout ceci.
HORTENSE.
(Juoi : clilandre saurait…
DAMIS.
Ne craignez rien, madame ; C’est un ami prudent à qui j’ouvre mon àme : Il est mon confident, qu’il soit le vôtre aussi. Il faut…
HORTENSE.
Sortons, \erine : ô ciel ! quel étourdi : SCENE XV.
DAMIS. CLITAXDRE. PASQUIX.
DAMIS.
Ah 1 marquis, je ressens la douleur la plus vive : Il faut que je te parle… il faut que je la suive.
A Hortense.i
.\ttentLs-moi, Demeurez. Ah 1 je suivrai vos pas.