Auteur de tous ses maux, c’est peu de les venger,
C’est peu de m’en punir, je dois les soulager ;
Il faut de nos bontés lui laisser quelque marque,
Et descendre du moins de mon trône en monarque.
Que l’on fasse approcher, etc.
Page 101, vers 11. — C’est le texte des éditions de 1738, 1748, 1768 (ou in-4o), 1775. Les éditions de Kehl portent :
Amis, écoutez-moi pour la dernière fois.
mais l’errata rétablit le texte que j’ai suivi. L’édition en 41 volumes a mis :
Écoutez-moi, Thébains, pour la dernière fois.
(B.)Page 103, vers 2 :
Allez, retirez-vous… Ciel ! que dois-je penser ?
À Corinthe, seigneur, il vous faut renoncer.
(Ire édition de 1719.)
Page 104. vers 4 :
Pressé de ses remords, a tout dit aux abois.
Et vous a renoncé pour le sang de ses rois.
(Éditions de 1719.)