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.j04 poésies Mêlées.

Vous valez le fils de Marie ; Alais lorsqu'il s'y transfigura, Souvenez-vous qu'il y gagna, Et vous y perdriez, Sylvie.

��80. — A LA MÊME.

Nymphe aimable, nymphe brillante. Vous en qui j'ai vu tour à tour L'esprit de Pallas la savante Et les grâces du tendre Amour, De mon siècle les vains suffrages N'enchanteront pas mes esprits; Je vous consacre mes ouvrages : C'est de vous que j'attends leur prix.

��81. — A LA MÊME.

Vous m'ordonnez de vous écrire, Et l'Amour, qui conduit ma main, A mis tous ses feux dans mon sein. Et m'ordonne de vous le dire.

��82. — A LA MÊME.

Allez, ma muse, allez vers Emilie; Elle le veut : qu'elle soit obéie. De son esprit admirez les clartés, Ses sentiments^ sa grâce naturelle, Et désormais que toutes ses beautés Soient de vos chants l'objet et le modèle.

��83. — A LA MÊME,

QUI S O U r A I T AVEC BEAUCOUP DE PRÊTRES.

Un certain dieu, dit-on, dans son enfance. Ainsi que vous, confondait les docteurs;

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