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ACTE III, SCÈNE VI.

SCENE VIL

Z^UUHE ; ATIDE- SÉHJIWE ;

SÉRAME.

Madame, il faut du sort dévorer tout Toutrage, Il faut d*un cœur soumis souffrir ce coup affreux. Vainement Mohadir, sensible et généreux, Du coupable Ramire a demandé la grâce ; Tous les chefs, irrités de sa perfide audace, L’ont condamné, madame, à ces tourments cruels Réservés en ces lieux pour les grands criminels., Il vous faut oublier jusqu’au nom de Ramire.

ZULIM£«.

Il ne mourra pas seul, et devant q^’il expire^.... Madame, ah i gardez-vous d’un. téméraire efEort !.

A.TIIXE..

Vous rabandojineriez. À cette indigne mort ? Oublieriez-vous ainsi la grandeor de. votre. âme ?.

Z.ULIME ».

Je préviens vos conseils, n’en doutez point, madame ; Ne les prodiguez plus. Et toi, nature, et toi. Droits éternels du sang^ toujours sacrés pour moi. Dans cet égarement dont la fureur m’anime, . Soutenez bien ^mon. cœur, et gardezrinoi. d’un. crime !

Fiic. DU. quajiuème : ax : te4.