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VARIANTES
DE LA TRAGÉDIE DU FANATISME.


Page 408, vers 33. — Édition de 1742 :

On périt avec gloire.

Ibid., avant-dernier vers. — Éditions de 1742 à 1751 :

Vous fait si près du port exposer sa naufrage.

Page 112, vers 14. — Édition de 1742 :

Un guerrier qui le suit s’est offert en otage :
On le nomme Séide.

PALMIRE.

On le nomme Séide.Ô ciel ! ô sort plus doux !

Page 114, vers 10. — Dans l’édition de 1742, il y a ici quatre vers de plus :

Dieu, maître de son choix, ne doit rien à personne ;
Il éclaire, il aveugle, il condamne, il pardonne :
C’est lui qui par ma voix daigne ici te parler ;
Au nom de Mahomet qu’on apprenne à trembler.

ibid., vers 31. — Édition de 1742 :

Vont de leur secte impie étendre la ruine.

Page 115, vers 17. — Édition de 1742 :

Reconnais une loi qui s’étend par la guerre.

Page 117, avant-dernier vers. — Les deux derniers vers de cet acte sont de 1748. Les éditions antérieures portent :

De lui seul ennemi, pour lui seul implacable,
L’amour de la vertu me rend inexorable.