Page:Volney - Les Ruines, 1826.djvu/133

Cette page n’a pas encore été corrigée

préposés. Et ce spectacle si imposant de force et de grandeur, si touchant de générosité, m’émut


jusqu’aux larmes ; et m’adressant au génie : " que je vive, maintenant, lui dis-je, car désormais j’ai tout espéré ".

Effroi conspira es tyrans