Page:Voisenon - Œuvres complètes, romans et contes, première partie, 1781.djvu/236

Cette page n’a pas encore été corrigée

répondit Tricolore. Je le crois aisément, répliqua-t-il. Cela n’empêche pas que ce ne soit une fort belle opération ; mais qu’a-t-il fait de tout cela ? Seigneur, dit la Princesse, il l’a emporté pour placer dans son cabinet d’histoire naturelle. Au fond, cela est juste, reprit Potiron ; c’est-là ce qu’il entendoit sans doute, lorsqu’il m’a remercie d’avoir augmenté son casuel. À parler franchement, je n’en suis pas fâché. Voilà bien de la besogne faite ; je sens que j’ai envie de dormir.