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Malgré les critiques allemands, je tiens pour fort estimable le commentaire de Salvolini sur le papyrus de Turin et les campagnes de Rhamsès le Grand. J’avais le dessein de m’en servir pour mon grand ouvrage sur le séjour des Hébreux en Égypte, quand des affaires urgentes m’appelèrent, au commencement de l’automne dernier, dans ma terre de Bukova, en Petite Russie. Je partis, emportant mon précieux Salvolini ; je me flattais