Cette page a été validée par deux contributeurs.
REFRAIN LASSÉ
Des parfums de cytise ont amolli la brise
Et l’on s’attriste, errant sous le ciel transparent…
Le soleil agonise… Et voici l’heure exquise…
Dans le soir odorant, l’on s’attarde en pleurant…
Tu reviens, frêle et rousse, ô ma belle ! ô ma douce !…
Comme en rêve, je vois tes yeux lointains et froids,
Telle une eau sans secousse où le regret s’émousse…
Sous leur regard, je crois revivre l’autrefois.