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Le présent despotique est comme un maître rude
Qui tourmente l’esclave au sommeil harassé…
Mes chères, descendons la pente du passé
En sentant que le soir est plein de lassitude.

Je songe à la fatigue, à l’ennui des retours
Qui suivent les départs vers les terres charmantes…
Allons ainsi jusqu’au futur, ô mes amantes !
Sachant que nous avons vécu nos plus beaux jours.