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« Je vais m’efforcer de courir aussi vite que le vent lui-même… »

Lorély fuyait, à l’égal du vent, des nuages et de la terre, et je fuyais aussi. L’univers nous entraînait dans sa course vertigineuse. Et il ne restait plus rien de fixe ni de durable. Il n’y avait plus que notre grande hâte vers l’inconnu…