Page:Vivien - Une femme m’apparut, 1905.djvu/228

Cette page a été validée par deux contributeurs.

par la magie du songe. Les fleurs te ramèneront vers elle par le prestige du souvenir… »

Elle disparut, et je demeurai dans ma solitude troublée… Des étoiles chantaient au profond de l’espace.

L’étrange parfum, plus impérieux que jamais, m’attirait ainsi qu’un appel. Je me levai et me frayai un passage à travers les feuillages nocturnes.