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XXXIII


Vers la fin de l’hiver, je m’arrachai à la ville merveilleuse et revins à Paris, avec l’espérance lâche de revoir pour un instant la beauté fuyante de Lorély.

Je ne sus point la retrouver.

… C’était un de ces soirs où Lorély aurait dû venir, un soir de lune et d’étoiles qui eût été beau inexprimablement si elle était venue…

Et je songeai que j’étais semblable à un