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Le cri de résurrection et d’éternité sonnait creux devant le cercueil, où se fanaient les fleurs pâles. J’entendis, ainsi qu’un glas dominant les sanglots, la phrase liturgique :

Though worms shall eat this body…

Et l’horrible vision de ce corps doux et délicat, en proie aux vers du sépulcre, surgit à mes yeux…

Though worms shall eat this body…

Ces paroles retentirent en moi plus profondément que toutes les promesses d’immortalité.

Je tombai à genoux. Devant qui, devant quoi et pourquoi ? Je ne sais. Je m’agenouillai très simplement, devant quelque chose qui était au-dessus de ma douleur et que je ne comprenais pas…