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joie d’autrui. Le spectacle terminé, comme ils s’en retournent tristement, pauvres jusqu’à l’âme, dans les rues glacées, et couverts de ces quelques haillons que la vie leur laisse ! »

Ce fut dans mon âme une marche funèbre coupée par le glas…

Lorély avait oublié ma présence. Elle ajouta, se parlant à elle-même :

« Il faut envier les esclaves… Je suis libre, moi, libre, terriblement… »