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SONNET


Mais, sous ton clair regard qui pénètre les reins,
Plutôt que de mentir, ô Douce que je crains !
Lorsqu’il fallait parler, je me suis abstenue.

Je dis la vérité, comme au temps du trépas,
Et devant ton regard, voici mon âme nue,
Devant ton clair regard qui ne pardonne pas.