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toutes les métaphores gracieuses sont tissées dans sa poésie, avec ses propres imaginations. »
Démétrius.

Le Lexicon Seguerianum cite ἄκακος, qui ignore le mal, comme employé par Psappha.

« Diotime dit que l’Amour fleurit dans la prospérité, mais qu’il s’enfuit devant l’infortune, et Psappha partage ce sentiment lorsqu’elle appelle l’Amour γλυκύπικρος, doux et amer, et ἀλγεσίδωρος, qui donne la douleur. Socrate appelle l’Amour « le magicien. » Psappha le nomme μυθοπλόκος, le tisseur de chimères. »

Maxime de Tyr.