Page:Vivien - Sapho, 1903.djvu/152

Cette page a été validée par deux contributeurs.


Mon corps vigoureux comme un jeune arbrisseau
Frôla longuement ta chair tendre et brisée…
Tu levas sur moi tes yeux plus frais que l’eau
Et que la rosée.

Le fatal Erôs et l’amoureux Destin
Et l’Aphrodita dont je suis la prêtresse,
Nous virent cueillir le fenouil et le thym,
Atthis, ma Maîtresse.