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LE VENT DES VAISSEAUX


Et je ne vis que du rayon de ce sourire
Qui m’attendrit, et que j’appelle et je désire…
Ô miracle de ce miraculeux sourire !…

Sa robe a des plis doux qui chantent… Et ses yeux
Gris-verts ont un regard presque… miraculeux…
J’adore ses cheveux et son front et ses yeux…

Elle ne saura point, jamais, combien je l’aime
Cependant ! ― Car jamais ma jalousie extrême
Ne lui laissera voir, jamais, combien je l’aime !