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LE VENT DES VAISSEAUX


J’ignore où j’errerai, mais j’ai l’amour de vous
Ô despotiques vents divinement jaloux !
Je n’ai pu qu’entrevoir la lueur de vos faces
Mais mon cœur est saisi par vos griffes tenaces.

Ô vous qui demeurez mon amour éternel,
Emportez-moi dans le ciel ouvert ! Dans le ciel !