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deur. Et ce que j’attaque, dans ce minuscule volume, c’est uniquement la médiocrité et la laideur du siècle, qui rendraient impossible la seconde venue, — cependant promise ! — du Sauveur.
Jadis, le beau décor syrien entourait le Fils de l’homme de sa majesté tranquille. Et c’étaient le Jardin des Oliviers, le désert splendide, le temple de Salomon, aux murs lambrissés de cèdre, à l’autel d’or.
Mais aujourd’hui ? Si le Christ réapparaissait, parmi les souteneurs et les filles de Belleville et de Ménilmontant, comment serait-il accueilli par les reporters ?
M. Alphonse Pépin, rédacteur