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LES OLIVIERS


Καὶ ποθήω καὶ μάομαι
Et je regrette et je cherche…
Psappha.



Les oliviers, changeants et frais comme les vagues,
Recueillent gravement tes murmures légers,
Psappha, Divinité des temples d’orangers,
Dont le chant surpassa le chant des étrangers…
La montagne a des plis musicalement vagues…