Page:Vivien - Haillons, 1910.djvu/65

Cette page a été validée par deux contributeurs.
61
BÊTE SOURNOISE


Jamais ne s’adoucit un peu, ni ne s’arrête
La volonté du mal dans ses regards ardents…
Mon cœur garde toujours l’empreinte de tes dents,
Ô chagrin d’autrefois, vile et puante bête !