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amour, toi le larron


Ton pas est plus léger que le doux pas du Songe !
Et l’on n’entend jamais ce bruit sournois qui ronge.


N’as-tu point d’amitié ? N’as-tu point de raison ?
Voici que s’insinue en mon cœur ton poison.


Épargne-moi ! Vois mon visage et mon front blême…
Mon ennemi, l’Amour, je te hais et je t’aime.