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LA MORT D’UNE BACCHANTE
Nous ne tisserons pas les graves violettes…
Nous ferons retentir le paktis vaste et doux
À travers les forêts et les plaines muettes,
Et nous arracherons le feuillage aux tons roux…
— Ô compagnes, la voix large des lyres chante
La mort d’une Bacchante.
La solitude a moins de regrets que l’Amour
Et le sanglot est moins déchirant que le rire…
Nous mêlerons nos bras jusqu’au déclin du jour,