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ÉTUDES ET PRÉLUDES


Car l’Astre t’effleura d’une lueur oblique,
Et ce fut un éclair lugubre et prophétique
Révélant la hideur au fond de ta beauté.

Je vis, — oh la terreur de ce rêve profane ! —
Sur ta lèvre, pareille aux aurores d’été,
Un sourire fané de vieille courtisane.