ne manquèrent pas de signaler leur passage par toutes sortes de figures grotesques et d’afficher un goût exagéré pour les profils de femmes nues.
J’ai beaucoup aimé les maçons. Ces gens là ont le visage et les mains pâles, mais dans le fond ils sont francs et s’amusent beaucoup à remplir d’eau de jolis petits bassins cravatés de sable fin, où ils gâchent ensuite à coups de brillon. Vous les entendez toujours siffler, chanter, faire sauter des briques. Un de ces bousilleurs devait descendre du Sphinx. Le monstre fabuleux lui légua, en plus de son amour pour les poitrines opulentes, le souci de poser des énigmes. J’en prends à témoin ce plâtre où nous lisons :
Qu’est-ce qu’a un corps de bois ? |
Je vous supplie de ne pas vous précipiter du haut d’un rocher. D’ailleurs, on eut la dé-