lettes très-développées ; les tiges sont alors très-fortes et plates, de champ. La figure 7 présente un de ces éperons[1]. La paire est de cuivre doré et émaillé ; l’émail de l’échiqueté est blanc bleuâtre, ce qui pourrait faire supposer que ces éperons ont appartenu à un membre de la maison de Dreux[2], car on ne peut admettre le blanc, qui n’est pas un émail héraldique. A moins de supposer que cet échiqueté n’est qu’un ornement. La molette est très grande et porte trente-deux pointes.
En A, est donnée la boucle qui permet de serrer la courroie du cou-de-pied.
En B, est présenté l’appendice du talon d’un autre éperon de la même époque[3] renversé et terminé par un fleuron.
En C, les attaches de sous-pieds et de courroie, et en D les boucles de cette même paire d’éperons. Ces appendices recourbés du