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est posée une brigantine, puis un camail de peau barbelé. Il est coiffé d’une salade sans visière. Sous les manches du jacque passent de larges

manches d’étoffe. Ses jambes sont vêtues de hauts-de-chausses et de bas-de-chausses de peau, de cuissots et de grèves de fer avec genouillères et solerets.

A dater de cette époque, on ne voit que bien rarement le camail appliqué aux vêtements de guerre.


CAPEL, s. m. — Voyez Chapel.


CAPERON, s. m. (coiffe). Serre-tête de toile rembourré de coton qu’on plaçait sous le bacinet, la salade ou le chapel de fer.