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des escabeaux et carreaux pour s’asseoir, complétaient l’ameublement (voy. le Dictionnaire du Mobilier).

« Adonc est li sires levé
Et est entrez dedenz sa chambre
Qui tote estoit ovrée à l’ambre.
N’a el monde beste n’oisel
Qui n’i soit ovré à cisel,
Et la procession Renart
Qui tant par sot engin et art,
Que rien a fere n’i lessa
Cil qui si bel la conpassa.
Qu’en li séust onques nomer[1]
..... »

Nous donnons (1) un plan d’une de ces chambres privées, que l’on avait

  1. Roman du Renart, vers 22 162 et suiv.