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plus nombreux et non les moins puissants furent les provençaux ; je continuai ce soliloque jusqu’en gare de Bénarès, où j’arrivai, enfin !
« Dès le lendemain, je me mis à parcourir la ville, comptant sur ma bonne étoile pour me faire retrouver mes précieuses bottes.

« Plusieurs jours se passèrent sans résultat.
« L’espérance avait fait place au découragement.
« Mes démarches avaient été d’abord mathématiques, stratégiques, si j’ose dire ; mon cerveau fatigué alors n’avait plus la force de raisonner ; j’allais devant moi musant dans