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commodément, il y a si longtemps que cela ne nous est arrivé » ; et, ce disant, nous entrions dans la rue Volney.

Sitôt installés, rafraîchissements servis, le capitaine Marius Bouillabès allumant un énorme havane, commença ainsi le récit de ses mésaventures :



« Dès mon arrivée dans l’Inde, il ne se passa de jour qui n’amenât dans mon existence quelque tragédie ou quelque incident saugrenu.

« Il semblait qu’une fée néfaste s’était attachée à mes pas pour me rendre la vie insupportable. Les Euménides, dont nous eûmes au collège des occasions répétées d’entendre