Page:Vimar - Le Boy de Marius Bouillabès.djvu/48

Cette page a été validée par deux contributeurs.

qu’une machination de Jingo, qui avait estimé ingénieux de s’offrir, à prix réduit, des goûters fins au moyen de la même carte de visite qu’il me remettait chaque fois sous les yeux.

« Que pensez-vous de l’anecdote ?



« Quand je le revis, ce malsain animal, je crois que n’eût été mon bras malade, je l’eusse tué moi-même à coup de garcette.

« Je fus trois mois à me guérir.

« Jingo, après une série noire de sottises variées, s’en permit une dernière, qui mit le comble à ma fureur.

« Est-ce qu’une nuit, rentrant assez tard chez moi,