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CHAPITRE II
L’ÉDUCATION DE L’ÉLÉPHANT DOMESTIQUE
LE PETIT JINGO
« Vous avez bien raison », dit à son tour le capitaine Marius Bouillabès, de Marseille, dont nous célébrions le départ à nouveau par ce dîner d’amis, « il est parfaitement vrai qu’on ne saurait trop vanter l’intelligence de l’éléphant domestique. Mais que sont ces histoires à côté de celle de mon boy Jingo ?
« Vous pouvez croire tout ce qu’on vous racontera là-dessus, même les choses les plus fantastiques, les plus invraisemblables.
« Tenez, pour ma part, j’ai acquis, par une longue expé-