céans et pour mieux assurer leur temporaire sécurité, ces nationales valeurs — qu’afin de les remettre intégralement aux fondés de pouvoir de l’Allemagne, l’heure venue !
Et c’est son heure, à lui, que les fondés de pouvoir de l’Allemagne ont fait venir. Donc, où qu’elles puissent être, ici ou non, que m’importe ! Qu’elles dorment ! C’est bien le moins que je partage avec tous le droit de les ignorer. Grâce à la meurtrière duplicité de vos mandataires, on ne sait ce que votre Or est devenu : l’Allemagne a prescrit mes légitimes droits d’enquête sur l’événement qui explique et motive cette disparition : le temps s’est appesanti sur cette déjà vieille histoire… — ainsi soit-il.
En conclusion, vous connaissez la provenance des richesses enfouies, — sans aucun doute, pour moi, désormais, — sous votre terre ! Les annuler ainsi, c’est encore en disposer ; or, quel droit pouvez-vous invoquer sur elles ?
Celui d’en sauvegarder l’oubli.