deux conditions de ce type correspondant à l’existence des deux différentielles totales
<ZU == oQ — p dv et dS = *
Considérons, à titre d’exemple, le cas oùles variables (#, y) sont les variables naturelles (§ 1) T et p. On a l’habitude de représenter les fonctions A et B correspondantes par les symboles c(p, T) et Z(p, T), et l’on écrit, comme nous l’avons fait au paragraphe 12
oQ = c tZT 4— l dv.
Si l’on écrit alors les conditions d’intégrabilité des deux éléments différentiels
dj ~ c dX —h (Z — p) dv
on obtient
et __ ôl àpàv~
d’où, en éliminant — entre ces deux équations,
que nous pouvons écrire
pour rappeler qu’il s’agit du rapport des variations infiniment petites
de p et de T, p restant constant. Cette dernière écriture a de plus
l’avantage de conserver un sens très clair lorsque les propriétés mécaniques
du fluide sont définies simplement par une surface caractéristique
non explicitée sous la forme d’une fonction jo — F(p, T) dont
on puisse évaluer les dérivées partielles.
Cette équation s’appelle la formule de Clapeyron relative aux variables (p, T).
En utilisant les variables (p, T) on obtiendrait de même la seconde formule de Clapeyron