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CHAPITRE III
Les Germes de Personnalité
I. Le goût des questions morales 
 70
II. La sensibilité et le besoin de se raconter 
 73
III. Le libre examen et l’autorité religieuse 
 78
IV. Le libre examen et la soumission aux faits 
 83
V. Conclusion 
 87
LIVRE II
La Conquête de la Personnalité
CHAPITRE PREMIER
Le Courant moral
I. Le sentiment moral chez Montaigne. Son caractère. Transformations qu’il apporte dans les Essais : méditation morale personnelle, esprit critique, peinture du Moi 
 93
Section I. — Développement du Sentiment moral
II. Rupture avec la manière pédante du temps. Défaut de mémoire. Le chapitre Du Pedantisme et ses sources. Le jugement sur Guevara. Critique de la méthode pédante à toutes les époques dans les Essais 
 97
III. Développement du jugement personnel. Influence de Plutarque 
 106
IV. Les Vies de Plutarque et la psychologie dans les Essais. Les Vies de Plutarque apprennent à Montaigne à moraliser les histoires et à en juger. Conséquences : 1° rupture avec les essais très grêles du début ; 2° sentiment de la complexité psychologique 
 108
V. Les Opuscules de Plutarque, et la morale familière et réaliste. Influence des Opuscules sur les Essais. Montaigne commence à se détacher du stoïcisme. Morale de l’Académie. Polémique de Plutarque contre l’école stoïcienne. L’observation de la vie familière. Le réalisme moral de Plutarque par opposition à la morale stoïcienne. Conclusion : recul de l’influence de Sénèque 
 116