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J. VILLEY.
On peut d’ailleurs établir ce résultat sans faire appel à d’hypothétiques
parois semi-perméables, en se référant simplement à
l’expression de l’entropie d’une molécule-gramme de gaz parfait. On
a, en appelant la chaleur spécifique moléculaire sous volume constant
d’où
et
d’où
Pour la transformation P’ → P, on a une relation analogue, sauf que
la constante moléculaire est remplacée par par suite de la dissociation
totale des molécules diatomiques ; d’où
Si nous appelons la capacité calorifique à volume constant
de et celle de XY, on aura alors, en suivant le
parcours A’P'PB
ou
Si nous écrivons d’autre part que la variation d’énergie interne
évidemment nulle dans la combustion ordinaire (adiabatique
et à volume constant), l’est aussi dans la combustion réversible de
mêmes états extrêmes, nous obtenons
ou
Cette relation exige que soit plus grand que dans une partie