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L’ORGANISATION ET LA LÉGISLATION FÉODALES.

voir s’il n’y aurait pas moyen de guérir le canard. » Et rendant le cadavre déjà raide du malheureux animal à la mère de l’enfant, il ajouta : « Soignez le bien toute la journée, nous verrons comment il ira demain et je jugerai en conséquence. » Inutile de dire que le lendemain la mère s’était munie d’un canard bien vivant, qui battait des ailes et lançait d’un gosier vigoureux les coin ! coin ! coin ! les plus retentissants. Dès que le bon juge l’aperçut : « Ah ! je pensais bien, dit-il, que ce pauvre oiseau en reviendrait. » Et l’enfant en fut quitte pour la peur.