80. La vie de Henriette joint s’avifer de me venircherciet : à Thoulouze, parce qu’elle n°e. ftoit plus dans le Païs lors qu’on fçeut la retraite de la Religeufe, & qu’on foupçonna que j’eftois. auprés d’elle, nfin elle.s’en revenoit confu-
fe & mal-farisfaite, racontans par :
les chemins tous venans, ma fu nefte hiftoire & le mauvais fuccés de fon re 3 tantoft faifant fai re cet 0 !
dant qu’elle repofoit, afin que ce- 1 fut moins commun ; lors qu’en- fin une avanture toute nouvelle luy donna toutes fortes de fatisfa-
étions. La Comtefle d’Englefac.
navoit pas. manqué d’envoyer À Thoulouze comme la vieille Pres fidente l’avait. préveu ; & fon En. voyé ayant montré un ordre de la Reyne Mere, portant que je fe- rois renfermée quelque part qu’on pûtme reprendre, il n’y avoit plus eu pour moy à balancer entre le
choix
€ à fon Efcuyer pen-,
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