« de mystère, M. Maeterlinck se sert « de procédés sommaires, qui affec« tent une naïveté de primitif. C’est ici « qu’il fait bon pour lui d’être Belge. « Car il 11e sait pas bien la langue. « 77 la sait à la façon des étrangers, « à qui manque toujours le sens de « la tradition. »
On ne saurait mieux dire. Et ce qui est typique, c’est que de jeunes poètes français singent ces étrangers, non pas dans ce qu’ils ont de génial, mais dans leur façon imprécise, dans leur « parler nègre », dans l’incompréhensible. Tly a là comme un snobisme de leur part : Ils font avec intention ce que leurs maîtres— si je puis m’exprimer ainsi — font simplement parce qu’ils sont incapables d’autre chose.
En même temps, ils se complaisent dans ces mélancolies, dans ces brouillards